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Jeûnez avec le cœur / P. Slavko Barbarić

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L’auteur

Le Père Slavko Barbarić, OFM, est né en 1946 dans les environs de Medjugorje. Il a étudié à Sarajevo et à Schwaz et a été ordonné prêtre en 1971. En 1973, à Graz en Autriche, il a reçu sa maîtrise en théologie pastorale et en 1982, à Fribourg en Allemagne, a obtenu son doctorat en pédagogie religieuse.

En janvier 1982, il a commencé à travailler avec les pèlerins à Medjugorje où il a animé de nombreux rassemblements, notamment des retraites de jeûne et prière, des rencontres pour des jeunes, des couples mariés et des prêtres. Pendant presque 20 ans, il a présenté des conférences sur les évènements de Medjugorje sur place et dans le monde entier, a diffusé et commenté les messages de la Reine de la Paix. Il a publié une dizaine de livres sur la spiritualité de Medjugorje, qui sont aujourd’hui traduits dans plus de vingt langues.

Le 24 novembre 2000, ayant achevé la prière du Chemin de croix avec les paroissiens et les pèlerins sur le Mont de la Croix (Križevac) à Medjugorje, il s’est effondré et est mort tout près de la 13e station. C’était un vendredi. Il était 15.30 h.

 

À propos de ce livre

D’après le témoignage des voyants, la Sainte Vierge nous a tous appelés à la paix, au jeûne et à la prière, à la conversion et à la fermeté dans la foi.

Depuis le début des apparitions jusqu’au 14 août 1984, à la demande de la Vierge, on jeûnait une fois par semaine. La veille de la fête de l’Assomption 1984, le voyant Ivan est venu nous dire, au Bureau paroissial, que la Vierge lui était apparue alors qu’il se préparait à se rendre à l’église, et qu’elle avait appelé tout le monde à prier en ce temps les trois parties du Rosaire et à jeûner deux jours, le mercredi et le vendredi. Depuis ce jour, jusqu’à aujourd’hui, cet appel n’a pas changé.

Nous étions nombreux à être surpris et même déconcertés par l’appel au jeûne en tant que tel, et surtout par l’appel à deux jours de jeûne. Cela nous semblait exagéré, irréaliste, impossible. Et pourtant, un regard rapide dans l’histoire du jeûne montre que les juifs, déjà, jeûnaient deux jours : le lundi et le jeudi. Si le pharisien qui prie dans le Temple, rendant grâce à Dieu parce qu’il prie et jeûne et pense aux pauvres, n’est pas justifié, c’est parce qu’il a jugé le publicain en prière dans un coin du Temple. En effet, Jésus n’a pas rejeté la valeur du jeûne ni interdit de jeûner deux fois, il a interdit de juger. (Cf. Lc 18,9-12)

Marie est la Reine des prophètes. Ceux-ci ont tous appelé à la conversion, au jeûne et à la prière, comme conditions de la paix. Marie n’a pas de meilleurs ni d’autres moyens que ceux que les prophètes ont déjà proposés en appelant à la paix, et c’est toujours la conversion, la prière, le jeûne et la fermeté dans la foi.

Nous appelant à jeûner deux fois par semaine, Marie demeure ancrée dans la tradition de son peuple et nous remet en mémoire la tradition plusieurs fois séculaire de l’Église d’Orient et d’Occident.

Bien que le Concile Vatican II nous ait appelés à revenir aux sources, nous devons reconnaître que nous n’avons pas redécouvert le jeûne ; c’est même l’inverse qui s’est produit. Ces dernières décennies, le jeûne s’est réduit au minimum : le Mercredi des Cendres et le Vendredi Saint.

Les apparitions de Medjugorje n’ont rien apporté de nouveau et n’ont rien révélé d’inconnu ; elles ne sont qu’une aide à accueillir ce que Dieu a demandé par les prophètes, ce que Marie a fait, ce que Jésus lui-même a fait.

 

L’auteur parle

Parler du jeûne à une époque où l’esprit de consommation marque les mentalités, c’est aborder un thème religieux, biblique et chrétien oublié. Alors que l’Église a perdu non seulement la pratique, mais également le sens du jeûne, le monde parle de plus en plus de jeûne thérapeutique et de régimes de toutes sortes, capables d’affronter les maladies les plus diverses et l’excès de poids. De plus en plus de cliniques spécialisées pratiquent le jeûne thérapeutique, avec de très bons résultats et attirent de plus en plus de gens cherchant de l’aide. On sait bien, par ailleurs, que de nombreuses maladies modernes sont provoquées par l’excès de nourriture et de boisson, et par une relation désordonnée à l’alimentation en général. Ainsi menacé, l’homme cherche des solutions porteuses d’espoir. C’est pourquoi de plus en plus d’individus ou de mouvements veulent revenir à la nature et à un style de vie plus naturel.

Toutes les religions connaissent le jeûne et demandent à leurs adeptes de jeûner. La Révélation biblique de l’Ancien Testament connaît le jeûne, toujours lié à la prière, comme moyen de parvenir à la paix. Dans le Nouveau Testament, le jeûne se pratique également. Jésus a jeûné avant de commencer sa vie publique, et il a annoncé que ses disciples jeûneraient. La Tradition de l’Église connaît un jeûne, lié plus particulièrement à l’Eucharistie et aux temps liturgiques forts, comme le Carême et la préparation aux fêtes. Cette tradition s’est maintenue pendant de longs siècles. À notre époque, dans l’Église, presque toutes les traces du jeûne ont été perdues. Il ne reste que le Mercredi des Cendres et le Vendredi Saint, ces deux jours ayant presque perdu leur pratique et leur sens véritables.

Ce livre a été écrit dans le contexte des événements de Medjugorje. L’appel au jeûne surprend beaucoup de gens : ils pensent qu’il s’agit d’une exagération et d’un fanatisme, car nous sommes appelés à jeûner au pain et à l’eau deux jours par semaine, le mercredi et le vendredi. Beaucoup estiment cela impossible, voire inutile. Les messages sur le jeûne laissent entendre que Marie ne pense pas ainsi. Elle raisonne d’une manière biblique et ecclésiale. Elle connaît les bénéfices, maintes fois vérifiés, qu’apportent le jeûne et la prière à toute croissance spirituelle. En réfléchissant à mes expériences de jeûne et à celles des personnes présentes aux semaines de jeûne et de prière, je vois de plus en plus clairement l’injustice commise à notre époque contre cette pratique, une injustice commise à l’encontre d’une bonne croissance spirituelle.

 

Thèmes

I. L’appel de la Reine de la Paix

II. L’expérience du jeûne

III. Le jeûne et ses fruits dans les prières de l’Église

IV. Le jeûne dans la Bible

V. Le Catéchisme de de l’Église Catholique à propos du jeûne

VI. Deux jours de jeûne dans l’histoire

VII. Le jeûne dans la vie des saints

VIII. Vivre une semaine avec le pain et l’eau

IX. Le jeûne et la prière – la santé mentale

X. Le jeûne et la santé spirituelle

XI. Le jeûne et les religions

XII. Prière pour les jours de jeûne

XIII. Un autre aspect du jeûne

XIV. Cardinal Joseph Ratzinger à propos du jeûne

 





Éditeur : ICMM

Auteur : P. Slavko Barbarić

Langue : Français

Langue de l’original : Croate

Traduction / Relecture : Sabrina Čović / Michèle Fischer

Publié en 2018

Format : 195 x 120

216 pages

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L’auteur

Le Père Slavko Barbarić, OFM, est né en 1946 dans les environs de Medjugorje. Il a étudié à Sarajevo et à Schwaz et a été ordonné prêtre en 1971. En 1973, à Graz en Autriche, il a reçu sa maîtrise en théologie pastorale et en 1982, à Fribourg en Allemagne, a obtenu son doctorat en pédagogie religieuse.

En janvier 1982, il a commencé à travailler avec les pèlerins à Medjugorje où il a animé de nombreux rassemblements, notamment des retraites de jeûne et prière, des rencontres pour des jeunes, des couples mariés et des prêtres. Pendant presque 20 ans, il a présenté des conférences sur les évènements de Medjugorje sur place et dans le monde entier, a diffusé et commenté les messages de la Reine de la Paix. Il a publié une dizaine de livres sur la spiritualité de Medjugorje, qui sont aujourd’hui traduits dans plus de vingt langues.

Le 24 novembre 2000, ayant achevé la prière du Chemin de croix avec les paroissiens et les pèlerins sur le Mont de la Croix (Križevac) à Medjugorje, il s’est effondré et est mort tout près de la 13e station. C’était un vendredi. Il était 15.30 h.

 

À propos de ce livre

D’après le témoignage des voyants, la Sainte Vierge nous a tous appelés à la paix, au jeûne et à la prière, à la conversion et à la fermeté dans la foi.

Depuis le début des apparitions jusqu’au 14 août 1984, à la demande de la Vierge, on jeûnait une fois par semaine. La veille de la fête de l’Assomption 1984, le voyant Ivan est venu nous dire, au Bureau paroissial, que la Vierge lui était apparue alors qu’il se préparait à se rendre à l’église, et qu’elle avait appelé tout le monde à prier en ce temps les trois parties du Rosaire et à jeûner deux jours, le mercredi et le vendredi. Depuis ce jour, jusqu’à aujourd’hui, cet appel n’a pas changé.

Nous étions nombreux à être surpris et même déconcertés par l’appel au jeûne en tant que tel, et surtout par l’appel à deux jours de jeûne. Cela nous semblait exagéré, irréaliste, impossible. Et pourtant, un regard rapide dans l’histoire du jeûne montre que les juifs, déjà, jeûnaient deux jours : le lundi et le jeudi. Si le pharisien qui prie dans le Temple, rendant grâce à Dieu parce qu’il prie et jeûne et pense aux pauvres, n’est pas justifié, c’est parce qu’il a jugé le publicain en prière dans un coin du Temple. En effet, Jésus n’a pas rejeté la valeur du jeûne ni interdit de jeûner deux fois, il a interdit de juger. (Cf. Lc 18,9-12)

Marie est la Reine des prophètes. Ceux-ci ont tous appelé à la conversion, au jeûne et à la prière, comme conditions de la paix. Marie n’a pas de meilleurs ni d’autres moyens que ceux que les prophètes ont déjà proposés en appelant à la paix, et c’est toujours la conversion, la prière, le jeûne et la fermeté dans la foi.

Nous appelant à jeûner deux fois par semaine, Marie demeure ancrée dans la tradition de son peuple et nous remet en mémoire la tradition plusieurs fois séculaire de l’Église d’Orient et d’Occident.

Bien que le Concile Vatican II nous ait appelés à revenir aux sources, nous devons reconnaître que nous n’avons pas redécouvert le jeûne ; c’est même l’inverse qui s’est produit. Ces dernières décennies, le jeûne s’est réduit au minimum : le Mercredi des Cendres et le Vendredi Saint.

Les apparitions de Medjugorje n’ont rien apporté de nouveau et n’ont rien révélé d’inconnu ; elles ne sont qu’une aide à accueillir ce que Dieu a demandé par les prophètes, ce que Marie a fait, ce que Jésus lui-même a fait.

 

L’auteur parle

Parler du jeûne à une époque où l’esprit de consommation marque les mentalités, c’est aborder un thème religieux, biblique et chrétien oublié. Alors que l’Église a perdu non seulement la pratique, mais également le sens du jeûne, le monde parle de plus en plus de jeûne thérapeutique et de régimes de toutes sortes, capables d’affronter les maladies les plus diverses et l’excès de poids. De plus en plus de cliniques spécialisées pratiquent le jeûne thérapeutique, avec de très bons résultats et attirent de plus en plus de gens cherchant de l’aide. On sait bien, par ailleurs, que de nombreuses maladies modernes sont provoquées par l’excès de nourriture et de boisson, et par une relation désordonnée à l’alimentation en général. Ainsi menacé, l’homme cherche des solutions porteuses d’espoir. C’est pourquoi de plus en plus d’individus ou de mouvements veulent revenir à la nature et à un style de vie plus naturel.

Toutes les religions connaissent le jeûne et demandent à leurs adeptes de jeûner. La Révélation biblique de l’Ancien Testament connaît le jeûne, toujours lié à la prière, comme moyen de parvenir à la paix. Dans le Nouveau Testament, le jeûne se pratique également. Jésus a jeûné avant de commencer sa vie publique, et il a annoncé que ses disciples jeûneraient. La Tradition de l’Église connaît un jeûne, lié plus particulièrement à l’Eucharistie et aux temps liturgiques forts, comme le Carême et la préparation aux fêtes. Cette tradition s’est maintenue pendant de longs siècles. À notre époque, dans l’Église, presque toutes les traces du jeûne ont été perdues. Il ne reste que le Mercredi des Cendres et le Vendredi Saint, ces deux jours ayant presque perdu leur pratique et leur sens véritables.

Ce livre a été écrit dans le contexte des événements de Medjugorje. L’appel au jeûne surprend beaucoup de gens : ils pensent qu’il s’agit d’une exagération et d’un fanatisme, car nous sommes appelés à jeûner au pain et à l’eau deux jours par semaine, le mercredi et le vendredi. Beaucoup estiment cela impossible, voire inutile. Les messages sur le jeûne laissent entendre que Marie ne pense pas ainsi. Elle raisonne d’une manière biblique et ecclésiale. Elle connaît les bénéfices, maintes fois vérifiés, qu’apportent le jeûne et la prière à toute croissance spirituelle. En réfléchissant à mes expériences de jeûne et à celles des personnes présentes aux semaines de jeûne et de prière, je vois de plus en plus clairement l’injustice commise à notre époque contre cette pratique, une injustice commise à l’encontre d’une bonne croissance spirituelle.

 

Thèmes

I. L’appel de la Reine de la Paix

II. L’expérience du jeûne

III. Le jeûne et ses fruits dans les prières de l’Église

IV. Le jeûne dans la Bible

V. Le Catéchisme de de l’Église Catholique à propos du jeûne

VI. Deux jours de jeûne dans l’histoire

VII. Le jeûne dans la vie des saints

VIII. Vivre une semaine avec le pain et l’eau

IX. Le jeûne et la prière – la santé mentale

X. Le jeûne et la santé spirituelle

XI. Le jeûne et les religions

XII. Prière pour les jours de jeûne

XIII. Un autre aspect du jeûne

XIV. Cardinal Joseph Ratzinger à propos du jeûne

 





Éditeur : ICMM

Auteur : P. Slavko Barbarić

Langue : Français

Langue de l’original : Croate

Traduction / Relecture : Sabrina Čović / Michèle Fischer

Publié en 2018

Format : 195 x 120

216 pages